Ce matin, je me suis réveillé le cerveau embrumé, la nuit avait été courte, la soirée un peu arrosée, pas trop, elle avait surtout été rythmée par des envolées de rires, d’émotions, de joies, de partages, par énormément d’Amour. Je n’ai pas l’habitude de vivre ce genre de moments, de partager tant sur mon moi profond, sur mes sentiments, mes difficultés, ce qui me procure du bonheur et surtout de recevoir tellement d’énergie de ces discussions. Ce matin, je me suis réveillé avec ce sentiment de torpeur que j’avais lorsque, adolescent, l’été se terminait, le dernier stage était derrière moi, les amours de vacances subitement inaccessibles. Et bien que j’étais empli de douceur, d’Amour et d’outils pour gérer ce moments, j’ai laissé cette mélancolie s’emparer de moi, me prendre par la main et m’accompagner toute la journée, j’ai sombré dans la détresse, la solitude, j’en ai profité aussi et maintenant que la nuit est tombée, que l’agitation de la maisonnée s’est apaisée, mon corps, mon, âme, mon esprit s’ouvrent à la guérison, emmagasinent ce qu’ils ont reçu au cours des deux derniers jours, des 7 modules, des 6 mois passés à vivre l’esprit BAO-Elan Vital.
Hier, j’ai terminé le trajet Explorer au BAO, avec une petite 20-aine de personnes qui, il y a quelques mois à peine étaient de parfaits inconnus, aujourd’hui, ils sont devenus des amis.
Lorsque, en janvier dernier, lorsque dans mes 3 bonnes résolutions de début d’année, j’inscrivais “suivre la formation de coaching au BAO”, jamais je n’imaginais l’expérience que j’allais vivre et qui s’est terminée, ou peut-être a-t-elle réellement commencée hier ! Je venais pour chercher des outils, pour apprendre à mieux comprendre comment fonctionnent les être humains, un peu pour apprendre sur moi-même aussi, mais c’était secondaire car après tout, cela fait plus de 8 ans que je suis accompagné par des coachs de BAO-Elan Vital.
Au long du chemin, j’ai reçu une boite pleine à craquer, des outils d’analyse, des méthodes des réflexions, de questionnement, j’ai appris à accompagner les autres dans leurs difficultés, leurs projets et comment une multitude de petits pas peut changer un Etre, un groupe, des vies. Grâce à une équipe toujours envieuse d’apprendre, j’ai également pu mettre en pratique quelques concepts comme le quadrant d’Ofman dans mon cadre professionnel. A la maison, j’ai expérimenté ce qu’un changement de position dans les niveaux du moi peut apporter dans la communication avec les enfants, par exemple. Je dirais donc “les outils, check, ça c’est fait”.
Il est certain que c’est cela que je venais chercher en arrivant le premier jour à la première heure du premier module. Ce que j’ai reçu va bien au delà. L’expérience BAO-Elan Vital, c’est aussi des rencontres. Celle des autres bien entendu, le groupe, les individus qui le composent, les sous-groupes qui nous font avancer et les coachs qui se développent grâce à la confiance de leurs pairs. Travailler avec des personnes tellement différentes, d’horizons, d’âges, de professions, de confessions, d’origines si variées fut pour moi une révélation et d’une richesse sans commune mesure car, finalement la plus belle découverte que j’ai faite, c’est grâce à vous, mon groupe, mes coachs, mes profs, mes assistants, que je l’ai faite et c’est paradoxal que c’est grâce aux autres que j’y sois arrivé. Car c’est moi que j’ai trouvé, hier, dans la dernière journée, la dernière minute, les derniers instants de ce voyage, de ce trajet de cette quête. Je pense que ça y est, je suis prêt pour la prochaine étape.
Merci,
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Georges-Alexandre Hanin est l’heureux mari de Dorothée et père de 4 enfants, Alix, Inès, Joséphine et Georges (oui, Georges est un prénom familial, c’est sans doute bourré de trans-générationnel à ce niveau là ;-)). Il est également un sportif accompli, amateur de trails dans les bois et de courses en montagnes.
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